1/ Les outils en question
En termes d’IA, je me suis aidé de Chat GPT 3.5 pour rédiger mon article “Utiliser la data pour optimiser sa stratégie de content marketing”
J’ai également utilisé la version gratuite de Language Tool, qui est une extension web qui est notamment un correcteur de fautes de grammaires et d’orthographe. Elle repère par ailleurs les répétitions trop fréquentes et propose des synonymes. Enfin, l’extension remarque aussi les phrases trop longues. Écrivant mes ébauches d’articles (et bien plus encore) sur un Google Doc, et ayant tendance à faire de très longues phrases, cette extension m’est très utile quotidiennement.
2. Exploration, développement d’idées et créativité
Je me suis servie de ChatGPT pour trouver mon plan d’article. Cette IA m’a permis de générer énormément d’idées et de points à aborder. Pour faciliter la compréhension des réponses générées par ChatGPT, j’ai demandé à ce dernier de générer ses réponses sous forme de bullet points.
J’ai ensuite fait un tri sur les idées que je souhaitai vraiment aborder. Pour faire de tri, j’ai d’abord fait de la veille pour repérer les articles déjà excitants sur le sujet de la data et du content marketing. J’ai essayé d’ajouter une plus-value à mon article en parlant de points peu aborder lors des articles que j’ai trouvé durant ma veille.
3/ Planification et organisation
L’IA m’a permis d’organiser mon article. Mon article contient 3 parties. J’ai décidé de travailler ces dernières de façon indépendante pour obtenir des réponses plus précises de la part de l’IA.
Cela m’a donc permis de diviser mon temps de travail et de rédaction en 3.
Je me suis donc chargé (et j’ai veillé) d’avoir des liens entre mes différentes parties.
4/ Rédaction et articulation
Voulant que ma production de contenu soit reconnaissable par mon style d’écriture, la rédaction de cet article a quasiment totalement été réalisé par moi, et non par une IA. Je n’ai de ce fait repris aucunes réponses telles quelles, qui a été généré par ChatGPT, et je me suis chargée des reformulations finales.
Néanmoins, pendant mon travail de recherche et de rédaction, j’ai souvent demandé à ChatGPT de reformuler certaines de ses réponses, afin d’avoir un champ lexical plus vaste, et de me servir des mots qui me semblaient le plus pertinent.
5/ Éthique, source et hallucination
Dans une logique de fiabilité, j’ai vérifié toutes les informations produites par ChatGPT.
Dans le cas de cet article, les informations données par cette IA étaient correctes et fiables. Mais ayant déjà écrit des articles à l’aide de l’IA, j’ai remarqué que les réponses générées par ChatGPT ne sont pas toujours fiables (notamment lorsqu’il s’agit de formules et de calculs sur des sujets très précis).
L’utilisation de l’IA m’a permis d’éviter “le syndrome de la page blanche”. Je fais cependant toujours attention à reformuler et à réécrire moi-même les réponses générées par ChatGPT, pour que mon article final convienne à mon style d’écriture.