Les applications au service de l’anti-gaspillage alimentaire !

Chaque année, partout dans le monde, c’est près de 120 kilos de nourriture qui sont gaspillés, par personne. Il s’agit d’un problème immense et très coûteux aux niveaux environnemental et économique. C’est pourquoi les applications qui ont pour objectifs de lutter contre l’anti-gaspi alimentaire se développent de plus en plus. Mais malheureusement, elles ne sont pas encore connues de tous. 

Pour rebondir à l’article de feikeramkifio : « TOO GOOD TO GO : CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE », il n’existe pas seulement des applications qui mettent en relation les consommateurs et les magasins comme Too good to go ou Phenix.

1. Les applications pour donner ou vendre des denrées entre particuliers

#GEEV

A l’origine, il s’agit d’une application dédiée aux dons d’objets entre particuliers. Aujourd’hui, ils ont ajouté les produits alimentaires à leur liste de produits que l’on peut donner. A l’instar de Too good to go, le but est de donner plutôt que de jeter, et pas uniquement de vendre ce que l’on n’utilise plus.

Pour en savoir plus sur l’application,

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#HOPHOPFOOD

Cette application répond à une logique d’anti-gaspi solidaire. En effet, elle met en relation des étudiants qui souhaitent faire des dons alimentaires. Elle a également élargi son champ d’action en permettant au commerçant de donner également leurs invendus. 

Pour en savoir plus sur l’application,

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2. Les applications pour mieux gérer son frigo

#SAVEEAT

Le service proposé par l’application Save Eat est très proche de celui que propose Frigo Magic. En effet, il fournit aux utilisateurs une liste de recettes simples et rapides à cuisiner à partir des restes que l’on trouve dans notre frigo. Dotée d’un scanner, Save Est permet également aux utilisateurs de gérer les dates de péremption des produits. D’après la cofondatrice de l’application, il existe énormément de raisons qui expliquent le gaspillage alimentaire : dates de péremption, mauvais stockage et beaucoup d’autres problématiques qui peuvent, pourtant, facilement être traitées.

Pour en savoir plus sur l’application,

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3. La digitalisation : un moyen de mettre en place des démarches éco-responsables

Actuellement, le digital commence à se trouver une place dans le marché de la restauration. De plus en plus d’enseignes choisissent cette solution pour améliorer la gestion de leur entreprise et pour offrir aux consommateurs une meilleure expérience. Sous cet aspect-là, nous faisons plutôt référence aux applications comme Uber est ou Delivroo.

Pour limiter le gaspillage alimentaire, diverses idées basées sur l’utilisation des nouvelles technologies ont émergé suite à cela. Les plus prometteuses d’entre elles sont :

• Les étiquettes intelligentes pour la sensibilisation de la consommation
• La gestion des déchets
• Un frigo numérique
• Et beaucoup d’autres…

Finalement, le recours au numérique est aussi avantageux pour les professionnels que pour les particuliers, quelle que soit l’application utilisée. Beaucoup d’outils digitaux sont désormais disponibles pour aider les ménages à être plus écologiques et à diminuer les détritus.

4. Conclusion : Le numérique révolutionne l’anti-gaspillage

L’usage de ces applications permet de réduire fortement les pertes de denrées alimentaires. Par conséquent, il y a une diminution des risques sociaux, environnementaux et économiques : soit, une économie globale non négligeable. Pour les professionnels, cela permet de ne plus jeter les invendus et par la même occasion d’apporter son aide à des associations ou particuliers dans le besoin. En conclusion, toutes ces solutions de digitalisation concernant la traçabilité dans la grande distribution permettent aux entreprises de s’offrir un excellent retour sur investissement et deviendront très certainement, à terme, une nécessité pour tous les points de vente. 

De plus, à la suite de la propagation du COVID-19, les applications qui permettent aux entreprises de gérer leurs invendus de manière responsable sont de plus en plus utilisées.  Mais la question que l’on pourrait se poser après cette analyse serait pourquoi certaines entreprises sont encore réticentes vis-à-vis de ce développement numérique ?