Rencontre avec un Alumni : Kamel Naït-Outaleb 

Comme une évidence… Aujourd’hui j’ai compris pourquoi, nous, jeunes Dmbiens, sommes encouragés à interviewer nos alumni.

Tout simplement parce que c’est une recette imparable pour en sortir avec un smile inaltérable, une énergie de dingue et la conscience que les champs du possible sont là, bien présents, ouverts, attendant que nous nous en saisissions !

La victime de mon interview ?
Kamel Naït-Outaleb 

Partage d’expérience

Nous devons  :

  • notre première rencontre au MBADMB by Efap dans le cadre d’un exercice de partage d’expérience, de transmission « des anciens » aux nouvelles promos.
  • notre premier échange à Véronique Moreau et Aurélie Billat qui nous ont réunis à une même table.
  • l’approfondissement de notre conversation à un graal commun : l’éthique.
    Certes, cette dernière s’exprime et se cherche dans bien des domaines et ceux qui nous inspirent respectivement sont différents. L’aspiration, elle, me semble être « du même tonneau ».

Respect !

Le parcours estudiantin et professionnel de Kamel m’inspire un grand respect et témoigne pleinement de sa conviction profonde qu’il exprime en ces termes :

« Je me suis toujours dit : je vais y arriver »

Arriver à quoi, pensez-vous ?
A concilier activité professionnelle et valeurs personnelles.
A faire rimer business avec altérité, équité, protection sociale et environnementale, etc.

Sacrée gageure, vous en conviendrez !

Et voici Kamel à quelques semaines de relever le challenge, de réaliser pleinement ce rêve, cette raison d’être…

De la banque à la néo-banque…

Kamel a consacré 17 années de sa vie professionnelle au monde bancaire. Il a débuté avec un double BTS en poche, au poste de chargé d’accueil clientèle en agence. Puis, il a très vite gravi les échelons. A cet égard, il rend hommage à son premier manager qui a su détecter son potentiel et adopter la belle attitude de « pousser son poulain ».

A l’occasion de cette ascension rapide, Kamel s’est heurté à ce que je nomme le « mal français », celui du diplôme. En effet, je ne déflorerais aucun secret en soulignant combien nous restons attachés à des bouts de papier quand -entre autres- les anglo-saxons ont tout compris du bénéfice de miser et d’investir sur les potentiels que nous incarnons toutes et tous.

Partant, voici qui propulse Kamel à l’ESSEC où il décroche un Master of business administration / management général, le diplôme-même qui lui garantissait carrière et avenir tout tracés dans la banque traditionnelle !

Néanmoins, ceci était sans compter sur l’un des grands enseignements de cette reprise d’études : le goût de l’entreprenariat.
Nouveau diplôme en poche, Kamel consacre deux années supplémentaires à la banque traditionnelle. Deux ans pour mûrir sa volonté d’entreprendre, pour répondre favorablement à sa quête de sens…

…en passant par le MBADMB

Surfant sur un plan de départ volontaire, Kamel a intégré le MBADMB, conscient que le digital représentait l’avenir.

Et là… « LA révélation ! »  me dit-il. Grâce à l’ouverture offerte par cette année de formation hors des sentiers battus, il a pris conscience que « tout était possible » et que le temps était venu pour lui de sauter le pas.

« Je ne regrette pas ces 17 années de banque.
Sans doute que sans elles je n’aurais pas la pleine conscience de ce que j’entreprends aujourd’hui. »

En effet, c’est pendant le MBADMB qu’il prendra définitivement sa décision d’entreprendre et de s’engager dans ce qu’il nomme un « entre-deux entre passion et raison » : la néo banque.
Ça, c’est pour la raison ! Car la passion, rappelons-le, réside dans l’éthique…
Le résultat ? Onlyone, une néo-banque qui va laisser sur place ses consœurs par la création d’une valeur absolument singulière dans le secteur de la finance : celle d’un impact social et environnemental fort.

Vous l’avez compris, un nouvel ADN de la néo-banque est né entre les mains de ce jeune entrepreneur et de son associé Amine.

Souhaitons la bienvenue à la banque éthique !
Onlyonebank.com

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Ceci vous paraît conceptuel ? Alors posons-nous ensemble quelques questions :

  • Souhaitons-nous prendre conscience de l’empreinte carbone de notre gestion financière ?
  • Souhaitons-nous être accompagné pour apprendre à la réduire ?
  • Souhaitons-nous, ce faisant, participer à de grandes actions en faveur de notre planète ?
  • Souhaitons-nous contribuer à l’avenir des prochaines générations plutôt qu’à celui de notre seul établissement bancaire ?

Avouez, tout ceci mérite réflexion !

Une info complémentaire pour mieux alimenter nos considérations : chacun d’entre nous produit 11 tonnes (11 tonnes !!!) d’émission de CO2 par an (par an !), à charge pour notre environnement.
Nous apprenons graduellement à faire évoluer nos usages, notamment dans les petits gestes du quotidien. Mais avons-nous conscience que nous pouvons faire davantage, et notamment en réalisant que notre compte bancaire représente « le cœur de notre consommation » et que dans ce domaine nous disposons de réels leviers d’action…

It’s time ! You want to change the world ? Change the way you deal with your money !

Et surtout inscrivez vous vite sur www.onlyonebank.com