Le neuromarketing, qu’est-ce ?

Le neuromarketing, qu’en est-il ?

Livre de Donald Miller "Building a Story Brand"

Une méthode loin d’être nouvelle, qui a prouvé son efficacité dans un monde offline et doit répondre à un nouveau challenge : son adaptation dans un monde digitalisé. En revanche, la digitalisation du neuromarketing atteint-elle ses limites face aux enjeux actuels ?

Une une alliance entre les sciences et le marketing

Il permet pour les marques et entreprises d’être à la conquête du consommateur au plus profond de leurs envies et leurs plaisirs. 

Magic button

Une expérience unique

Parce qu’il permet une fidélisation, une approche client et une image de marque émotionnelle forte et mémorable, ce marketing apporte par l’application des neurosciences une expertise permettant de créer des offres et services répondant aux envies les plus profondes du cerveau des consommateurs. 

En connectant les codes marketing et ceux du cerveau, le neuromarketing permet de répondre et d’activer l’envie de consommer et d’acheter. En effet, il crée un imaginaire émotionnel autour de l’offre et du service proposé : à titre indicatif, nous pouvons citer les plateformes de vidéos à la demande, Netflix par exemple.

Manipulation ou véritable aide ?

En revanche, cette méthode jugée souvent au premier abord comme « magique » doit faire face à une nouvelle cible de conquête et leaders d’opinion : la génération Z. Une génération digitale native, responsable de ces actes et qui fait attention au monde qui l’entoure, l’environnement et surtout à sa consommation. Une plateforme comme arte.tv pourrait-elle leur convenir ? 

Des faits prouvent des limites du neuromarketing, une génération consciente à la recherche de valeurs de marque commune avec les siennes, une réglementation et surtout la confiance du consommateur face à son utilisation toujours tabou. Une discipline pouvant jouer sur la corde de la manipulation. 

Des faits prouvent des limites du neuromarketing, une génération consciente à la recherche de valeurs de marque commune avec les siennes, une réglementation et surtout la confiance du consommateur face à son utilisation toujours tabou. Une discipline pouvant jouer sur la corde de la manipulation. 

Est-ce alors une fin en soi pour les entreprises ? Pour les plus grandes qui ont permis leur essor et leur fonctionnement par ces méthodes, le bouton d’achat est plus qu’enclenché, pour d’autres moyennes ou petites entreprises, cela reste un moyen attractif à exploiter et d’autres forces peuvent être mises en avant en fonction de chaque marché.

Et après ?

Le challenge à venir pour le neuromarketing est son adaptation aux nouveaux enjeux et plus tard au web 3.0 car il reste et restera une méthode permettant l’émergence des marques et entreprises mais il est nécessaire que la transparence sur ce sujet soit faite. Elle doit devenir une pratique accessible dans le but ne de plus être diabolisée. 

Encore aujourd’hui, c’est l’image d’une méthode utilisée par les grands méchants loups pour attirer et rendre accros leurs troupeaux.

 

 

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