Valentine Soules, Assistante digitale pour Les Laboratoires de Biarritz

Il y a déjà un mois, je débutais mon stage de fin d’études au sein d’une marque nommée Les Laboratoires de Biarritz. Son concept ? Des soins dermatologiques bio, naturels, innovants et made in France. Aujourd’hui, j’aime beaucoup mon stage et les missions que j’y effectue mais j’ai surtout découvert une marque pleine de valeurs et d’engagements pour laquelle j’adore travailler. Qui mieux que ma tutrice de stage ; Valentine, une ancienne dmbienne, mais aussi une des plus anciennes employées, pour vous parler des Laboratoires de Biarritz ?

C’est parti !

Bonjour Valentine, peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Valentine Soules, j’ai 28 ans et je travaille aux Laboratoires de Biarritz depuis 2 ans en tant qu’assistante digitale.

Quel est ton parcours scolaire ?

J’ai fait un bac ES, puis j’ai enchainé sur l’EFAP Bordeaux pour un Master 1. Ensuite je suis partie un an en Australie pour faire un working holiday visa et pour apprendre l’anglais. Et à mon retour d’Australie je me suis inscrite en master 2, au MBA DMB, pour bien terminer mes études.

Comment es-tu arrivée dans Les Laboratoires de Biarritz ?

Je suis arrivée en stage de master 2. A l’issue de ce stage, Je n’avais pas pu être embauchée parce que l’entreprise ne pouvait pas. Je suis partie vivre à Paris pendant 2 ans ou j’ai géré la communication de 4 restaurants. Mais je ne suis pas faite pour vivre à Paris (rire). Donc j’ai voulu rentrer. A ce moment-là, j’ai contacté Dimitri, responsable du pôle digital, qui recherchait quelqu’un et comme le stage s’était bien passé, il m’a proposé de me prendre dans son équipe.

Quel est ton rôle au sein des Laboratoires de Biarritz ?

Je m’occupe principalement du site internet, de la mise en ligne de fiches produits, d’articles et de codes réductions ainsi que le SAV en haute saison c’est-à-dire d’avril à septembre.

Peux-tu nous parler d’une journée type ?

Lorsque j’arrive au travail, je regarde si il n’y a pas une « explosion » sur le site, que le logisticien a bien reçu les commandes, et qu’on a pas trop de question SAV (Service après-vente). C’est la priorité, le client. Ensuite, je réponds à mes mails et je mets en place ma to do de la journée.

En fait, il n’y a pas vraiment de journées types. Tout dépend de la journée, parfois il y a des urgences et il faut s’adapter.

Quelles sont selon toi les compétences/qualités nécessaire pour effectuer ton métier ?

Je pense que c’est un métier où il faut être très polyvalent. Il y a un côté très geek, quand on fait par exemple le SEO, il faut être très concentré et rigoureux. Il faut aussi avoir de la patience et être ouvert d’esprit parce que ce n’est pas toujours facile de faire du SAV, on peut tomber sur des gens plus ou moins agréables.

Qu’est-ce qui te plait et de déplait ?

Ce que j’aime, c’est travailler dans une entreprise où je retrouve mes valeurs, je trouve que c’est important de travailler dans un domaine qui me plait. C’est une entreprise écologique, proche de la nature, proche de l’océan donc ça, c’est hyper important. J’adore surfer donc je trouve que c’est bien de porter des cosmétiques qui respectent l’océan.

Ce que j’aime moins… Il n’y a pas vraiment de choses que je n’aime pas trop. Peut-être parfois le SAV, qui peut parfois être un peu agaçant lorsque l’on tombe sur des personnes pas très agréables… Mais je pense que c’est dans tout métier, lorsque tu fais du SAV, tu peux tomber sur de tout…

Les engagements de la marque sont-ils importants à tes yeux ? Y étais-tu sensible avant même de rentrer dans la société ?

Je pense qu’on est quand même une génération où on est beaucoup plus sensibilisés à l’écologie comparé à nos parents. Moi j’ai toujours, depuis que je suis étudiante, trié, jeté mes mégots dans une poubelle, etc… Donc c’est déjà quelque chose qui était ancré en moi. Mais c’est vrai que de travailler en plus, dans une entreprise bio, on représente la marque en public et ça nous pousse à faire encore plus d’effort pour l’environnement.

Selon toi, quelle place à le digital au sein des Laboratoires de Biarritz ?

Il y a 3,4 ans on pensait que notre métier dans le digital se résumait à poster 2 photos par jours sur Instagram et que cela suffisait. Aujourd’hui, le digital, on se rend bien compte qu’il est devenu indispensable. D’ailleurs, pendant le covid, on a été un des seuls pôles à remplir nos objectifs financiers. Parce que par exemple, les pharmacies et magasins bio ont dû fermer et les ventes ont baissé. On s’est vraiment rendu compte de la valeur du digital grâce au covid.

Quelles sont les perspectives d’évolution de l’entreprise selon toi ?

Les Laboratoires de Biarritz, c’est une marque qui est en train d’exploser. Parce qu’il y a aussi une équipe qui travaille sur ça. On commence vraiment à être une vraie grosse boîte. Au début, on préparait les commandes à la main, ce n’était pas ce que c’est aujourd’hui. Quand je suis arrivée en 2017, c’était un autre site, une petite équipe … Aujourd’hui, ce n’est même plus une start-up, ni une scale-up. L’objectif de l’équipe c’est de développer des produits, de mettre en place des partenariats, … et ça, tout le temps. Donc à l’heure actuelle, Les Laboratoires, je leur donne un vrai bel avenir.

En plus, on n’a pas commencé en étant pas bio et finalement on a fini par s’y mettre. Non, on est vraiment précurseur du bio, depuis le début.

 

Un petit mot de fin ?

Ca me fait plaisir d’accueillir une efapienne aux Laboratoires de Biarritz. Il faut continuer à faire marcher le réseau !

 

 

Merci beaucoup à Valentine pour m’avoir accordé du temps pour cette interview.