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L’aura du digital selon la typologie des entreprises

CEDRIC GROLET

DIGITAL ET TYPOLOGIE DES ENTREPRISES

Digital et typologie des entreprises.

Interview:

Digital et typologie des entreprises. De l’objectif à l’assiette, comment les TPE/PME mettent en avant leurs établissements grâce au digital ? 

Fanny trap - experte en communication

« LE DIGITAL, UNE DENRÉE DANS MON SECTEUR

 

 QUI EST FANNY ?

Elle ,n’est pas photographe culinaire mais le digital fait évoluer son métier, les besoins de ses clients et donc ses compétences de jours en jours. j’ai questionné Fanny Trap, experte communication pour le Ness By the Ocean – Hotel 4 étoiles de l’île de la Réunion. Le mariage du didital selon la typologie des entreprises.

Issue d’une grande école de commerce, Fanny ancienne cheffe de projet chez l’agence Nautilus Réunion, s’est lancée à son compte. 

Après discussion autour d’un café au sujet du digital, elle m’expliquait les effets papillons de celui-ci sur les demandes de ses clients de plus en plus complexes. 

«  Plus que de nouveaux challenges, le digital a métamorphosé la façon de communiquer dans le secteur de la food. » 

 

Quels sont tes clients ?

« En tant que Freelance en communication, j’aide des petites et moyennes structures de l’île à améliorer leurs images, retravailler leur positionnement/animer leurs réseaux…

Je travaille avec des clients de différentes typologies mais ayant pour la plupart un prisme commun: le secteur touristique. »

Chez tes clients, le digital agit tel un agitateur de besoins ?

« Aujourd’hui post covid, j’ai l’impression de vieillir vite… c’est incroyable et en même temps passionnant. 

Oui oui, les besoins des clients sont corrélés aux apports que le digital peut amener dans ce secteur.

Comme tu le disais, avec des consommateurs de plus en plus connectés, il faut savoir séduire à distance. 

Garder son esprit en veille, se réinventer et proposer aux clients des contenus toujours plus tendances afin de créer toujours plus de conversions défiant ainsi la loi du scroll sur les réseaux. »

Pris de plein fouet par le covid, le secteur touristique/hôtelier/gastronomique a dû se réinventer notamment grâce au digital, comment l’avez-vous traversé ?

« Effectivement, je pense que c’était la période la plus difficile de ma carrière. Nous avons dû, et très vite conjuguer avec le digital. Les clients face à la situation avaient des demandes de plus en plus précises et complexes. QR code cartes, sites web, application, système de paiement en ligne sur la table même. Moi qui aimais beaucoup produire moi même, cette période fut le tournant de ma carrière car je faisais face à des demandes qui me dépassaient en terme de compétences. 

 

J’ai dû, à partir de ce moment travailler avec d’autres free-lances en marque blanche et me former également afin de pouvoir élargir mon panel de réalisations. »

Séduire grâce au digital, quels nouveaux outils dans ce secteur ?

« Aujourd’hui post covid, j’ai l’impression de vieillir vite… c’est incroyable et en même temps passionnant. 

Oui oui, les besoins des clients sont corrélés aux apports que le digital peut amener dans ce secteur.

Comme tu le disais, avec des consommateurs de plus en plus connectés, il faut savoir séduire à distance. 

Garder son esprit en veille, se réinventer et proposer aux clients des contenus toujours plus tendances afin de créer toujours plus de conversions défiant ainsi la loi du scroll sur les réseaux. »

« LE DIGITAL  UNE DENRÉE DANS MON SECTEUR SUR L’ILE DE LA RÉUNION »

Fanny Trap 

Une collaboration avec un photographe culinaire/droniste ou autre ? 

«  J’ai effectivement déjà travaillé avec des photographes culinaires sur l’île, notamment pour le Ness. Avant je faisais des photos avec mon iPhone (rire)

J’ai briefé le photographe, assisté à la séance et naturellement, ce sont de nouvelles techniques, un nouveau métiers qui répond à de réels besoins aujourd’hui. 

Fanny Trap 

Découvrez un photographe culinaire  

Maxime 

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