Episode 1
Dans le cadre de cette dernière année au MBA DMB, j’ai choisi pour ma thèse, d’allier 2 thèmes qui me tiennent particulièrement à cœur et pour 2 raisons différentes :
La technologie blockchain et le droit de la succession. Mais pas de panique, je vais vous expliquer mon choix.
La blockchain : un sujet passion depuis 2 ans
Pour ceux qui me connaissent, vous savez que j’ai 3 grands sujets de prédilection :
- L’outil Notion
- La technologie blockchain
- Les spaghetti bolognaise
Donc pour cette thèse, je me suis dit que ce serait plus intéressant d’aborder un sujet qui me passionne. Ainsi, le contenu est plus facile à écrire et surtout cela permet de voir cet exercice comme une opportunité de mettre en avant un sujet captivant.
Le problème, c’est que sur Notion je suis incapable d’être objective tellement j’aime cet outil.
Ensuite, Vincent ne veut pas que je fasse ma thèse sur “Pourquoi les spaghettis bolognaise est le meilleur plat de la Terre ?”.
Alors, je vais parler de Blockchain. En effet, depuis 2 ans, j’ai vraiment été attirée par cette technologie. Avec toutes les notions qui y sont liées (cryptomonnaies, smart contracts, metaverse, etc.) et qui couvrent un très grand nombre de secteurs et d’applications, cette technologie va permettre de révolutionner tant de domaines que nous sommes, en réalité, à un tournant technologique immense et passionnant.
Comme tout le monde, je suis spectatrice de cette révolution, qui, comme celles qui l’ont précédées, mitige les avis et crée des vagues de réactions allant d’un extrême à un autre.
C’est pourquoi, ce sujet de thèse représente une opportunité de montrer un domaine d’application concret de cette technologie, au-delà, évidemment, de l’effet de mode que l’on a pu connaître autour des NFT et des crypto-monnaies. La “trend” étant passée, on peut enfin voir de plus en plus clairement comment la technologie blockchain va bien plus loin qu’un simple échange de jetons non fongibles.
La thématique juridique : une histoire de famille depuis 3 générations
J’ai la chance de venir d’une famille dans laquelle nous avons tous rédigé des thèses à la fin de nos études. Je dis une chance, car je sais que ce n’est pas le cas de tous les étudiants et que c’est une méthodologie de rédaction et de recherche tellement particulière, qu’à mes yeux, pouvoir demander des conseils aux aînés peut être un véritable atout.
Les hommes de ma famille, ayant tous fait des études de droit, il semblait logique qu’ils réalisent des recherches en lien avec ce domaine d’activité. Néanmoins, la plupart ont choisi d’aborder des thèmes peu exploités et apportant une réelle plus-value pour le reste de leurs pairs.
Je pense notamment à celle de mon grand-père, qui, en 1968, a publié sa thèse abordant le sujet de la liquidation des biens des concubins. Un thème précurseur puisqu’à l’époque, hors contrat de mariage, il n’y avait que très peu de textes juridiques permettant d’encadrer le partage de bien pour couples vivant en ensemble, non mariés, dans le cas d’une séparation. Le mariage étant une institution bien ancrée dans les mœurs sociétales de l’époque, cette thèse a permis, à son échelle évidemment, de porter un autre regard sur les changements au sein de la société par le prisme juridique.
Aujourd’hui, c’est à mon tour de reprendre le flambeau et de tenter d’atteindre ce même objectif : tenter d’aborder la transformation sociétale et technologique que nous sommes en train de vivre par le prisme juridique.
Le tout en partant d’une idée : Et si, la technologie blockchain pouvait résoudre les problématiques liées au droit de succession…
Si vous voulez en savoir plus sur la blockchain ou l’avancée de cette thèse, je vous propose de me suivre dès sur LinkedIn !