Comment démarrer une transformation digitale quand nous ne maitrisons pas les éléments d’un changement si impactant que celui engendré par le digital?
La réponse se retrouve dans Patrons n’ayez pas peur : Manuel à l’usage des patrons qui s’interrogent sur l’ubérisation de leur activité de Jérôme Wallut.
Actuellement de plus en plus d’entreprises se posent la question sur comment engager leur démarche de transformation face à un monde qui se digitalise. Le problème est que la plupart d’entre elles issues des secteurs traditionnels et éloignées du digital ne savent pas comment entreprendre ce processus.
Cet ouvrage facile à lire grâce à une structure pédagogique et à un ton d’écriture agréable nous permet de décrypter sans difficulté les enjeux de cette révolution. De plus, il offre des conseils précieux à ceux qui s’intéressent à la digitalisation et aux dirigeants des sociétés qui voient leurs secteurs changer par les usages.
Dans son livre Patrons n’ayez pas peur : Manuel à l’usage des patrons qui s’interrogent sur l’ubérisation de leur activité, Jérôme Wallut nous dresse un panorama tiré de ses 20 ans d’expérience dans le secteur du digital en tant que professionnel et que conseiller en transformation digital.
L’auteur commence par un chapitre explicatif où il expose ce qu’il comprenne pour véritable digitalisation en plus de détailler ses trois convictions fondatrices. Par la suite il présente le contexte historique de cette révolution afin de nous permettre de mieux comprendre comment nous en sommes arrivés là. Dans la partie dédiée au phénomène de l’ubérisation, Jérôme Wallut partage ses trois stratégies pour attaquer un marché et créer de la valeur. Dans le chapitre final, il propose onze recettes et astuces afin de mettre en place une nouvelle organisation et déployer les moyens indispensables qui permettront de profiter de tout le potentiel du digital.
« S’il n’y avait qu’une seule idée à retenir, ce serait celle-ci : désormais, la création de valeur est gouvernée par les usages et l’expérience avec laquelle on les vit. Le centre de gravité du pouvoir s’est définitivement déplacé. » Jérôme Wallut
